Six films et un documentaire tous parus entre 1971 et 2017. Cela fait peu comparé au nombre d’œuvres créées et publiées dans ce laps de temps. Néanmoins, j’en ai choisi quelques uns qui m’ont soit marquée par le jeu des acteurs, leur esthétisme, leurs informations et que je souhaite partager.
Ci dessous vous trouverez de courtes présentations sans aucune prétention de ces différents chef-d’œuvre. Enjoy !

SoundBreaking (2017)

Suite à la Fête des Sciences et du Festival Maintenant, axé sur la musique électronique, ce reportage vous comblera !

«Enregistrer la musique : une passionnante aventure artistique et technologique de plus d’un siècle dont Soundbreaking raconte en six heures les plus belles pages, avec la participation de tous les grands noms de la musique populaire et sur une bande-son d’anthologie.» (Arte)

 

Blade Runner (1982)

«Tous ces moments se perdront dans l’oubli comme les larmes dans la pluie.»

Film culte des années 80, BladeRunner a dû attendre 35 ans avant d’avoir sa suite.
Bien que les deux films puissent se regarder indépendamment, le premier opus vaut le détour. Ce récit de science fiction souvent copié mais jamais égalé recèle pleins de pépites dont la magnifique citation ci-dessus.

 

Un long dimanche de fiançailles (2004)

Mathilde, jeune bretonne, recherche désespérément trace de son amour parti sur le front. Le film est un ensemble de tableaux, la vie dans la campagne bretonne et en parallèle
la dure réalité du front de la grande guerre. À certains passages on retrouve des images de la bande dessinée de Tardi, grand bédéiste français.

 

O’brother (2000)

Année 1930, sud des États-Unis, on suit les tribulations aux soupçons Homériens de trois bagnards. Ulysse (Georges Clooney) chef de la bande n’a que deux obsessions : sa chevelure et retrouver sa femme. Avec ses compères tout aussi excentriques ils font d’étonnantes rencontres à base de sirènes et chanteur de blues ayant vendu son âme au diable… Les frères Coen proposent une superbe bande son rythmée par des chants country, sur un fond de campagne américaine.

 

Forrest Gump (1994)

Maman disait toujours, « la vie, c’est comme une boîte de chocolats : on ne sait jamais sur quoi on va tomber. » Sur son banc à attendre un autobus il cite sa mère et raconte sa vie à des inconnus. Forrest a participé à tous les évènements majeurs de l’histoire des États-Unis de son époque. Une belle leçon d’histoire à travers des yeux naïfs et innocents, en effet, à aucun moment ce jeune homme ne semble se rendre compte de ce qu’il fait de par ses capacités intellectuelles qui semblent plutôt limitées.

 

Le fabuleux destin d’Amélie Poulain (2001)

«C’est drôle la vie. Quand on est gosse, le temps n’en finit pas de se traîner et puis, du jour au lendemain, on a comme ça 50 ans. Et l’enfance, tout ce qu’il en reste, ça tient dans une petite boîte. Une petite boîte rouillée.»

Même si le film ne montre qu’un idéal parisien, il permet de s’imprégner du cliché français. Fresque poétique au succès planétaire, on ne se lasse pas des mélodies au piano et/ou accordéon.

 

Orange Mécanique (1971)

«Il y avait moi, c’est-à-dire Alex, et mes trois droogies, c’est-à-dire Pete, Georgie et Dim. Nous étions installés au Korova Milk Bar à nous creuser le rassoudok pour savoir où passer la soirée. Au Korova on sert du Lait plus, lait plus Vellocet ou Synthemesc ou Drencrom. Nous, on en était au Drencrom, ça vous affute l’esprit et ça vous met en train pour une bonne petite fête d’ultra violence.»

Film novateur, choc, violent, où l’on suit les méfaits d’une bande de gaillards. Leur chef Alex est enfermé et devient le cobaye de sadiques qui cherchent à évincer la violence qui réside en lui de manière quelque peu particulière.

 

Maëlle P.Enregistrer

Les films coups de cœur de Maëlle
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